En Suisse, les abus sexuels s’institutionnaliseraient-ils ?

Dans ce pays, les assistants érotiques et sexuels jouissent d’un traitement de faveur. Ces abuseurs (déguisés ou qui s’ignorent) peuvent poser des actes sexuels, en toute impunité, sur les personnes affectées dans leur capacité de discernement et sur celles qui n’ont pas les moyens psychologiques, verbaux et/ou moteurs de s’opposer et de se plaindre. (Lien A)


La prétendue demande des personnes précitées, sans défense, est carrément illusoire. Les actes leur sont prescrits par anticipation, sur décision des tiers. (Lien B)


Les critères pour sélectionner les futurs étudiants en assistance sexuelle (Lien C) ne sont pas plus fiables que la manière d'identifier les envies et besoins de leurs proies à venir.


Cette identification, foncièrement subjective, est le fruit des frustrations, désirs et fantasmes qui hantent la vie intérieure de l'entourage dont les transferts et projections psychologiques conditionnent le passage à l’acte. (Lien D)


Le "Photo-Langage" et la "Communication Facilitée" font partie des outils utilisés, relevant autant de la divination que de la manipulation. (Lien E)

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Inclure les plus faibles et les dépersonnaliser, c’est pouvoir s’y soulager jusqu’à plus soif et sans dépôts de plaintes. Le nec plus ultra pour les assistants, c’est de violer à la demande de tiers (rapport oral, pénétration, rapport sexuel complet). (Lien F)


L’assistance sexuelle va de pair avec une éducation sexuelle mise progressivement en actes au cours de ces dernières décennies. C’est pourquoi le même système incite les tiers professionnels et parentaux à poser des actes sexuels sur les enfants et sur les adolescents, dès le plus jeune âge, sous couvert d’éducation, de pédagogie, voire de thérapie, avec une attention particulière auprès des garçons. (Lien G)


L’égalité en droits, si chère aux décideurs, promoteurs et partisans, suppose que les enfants valides sont concernés autant que les handicapés servant d’exutoire sexuel.

On l’aura compris… En vue de légitimer la pédophilie et de s’y adonner impunément, une stratégie est mise en œuvre :

  • Décréter que tout un chacun a des manques, désirs et besoins sexuels jugés « fondamentaux » qu’il faut susciter et assouvir le plus tôt possible.
  • Prôner l’assistance sexuelle et lutter pour son institutionnalisation, y incluant les personnes les plus dépendantes et vulnérables, dès le plus jeune âge : « il s’agira de transgresser beaucoup, souvent, et longtemps ».

Avec pour corollaires aggravants : complicité des représentants légaux, films à caractère pornographique, inceste, homosexualité imposée, pratiques sexuelles en réunion, profit lucratif, rapport oral, pénétration négociée entre l'assistant et le bénéficiaire…

Il va sans dire qu’avec ce système intrinsèquement pervers, les pédophiles ont matière à se réjouir, à se protéger et à légitimer leurs transgressions.

De son propre aveu, une des promotrices déclare : « Des psychanalystes français ont changé de table lors d’une conférence, m’ont traité de sorcière ».


- O.M.S. / Droits sexuels :

« Les droits sexuels s'inscrivent dans les droits humains déjà reconnus par les législations nationales, les instruments internationaux relatifs aux droits humains et autres textes bénéficiant d'un large consensus. Ils incluent, entre autres droits accordés à toute personne, sans aucune contrainte, discrimination, violence : - le droit de jouir du meilleur état de santé sexuelle possible grâce notamment à l'accès à des services médicaux spécialisés en matière de santé sexuelle et de reproduction ; - le droit de demander, d'obtenir et de transmettre des informations ayant trait à la sexualité ; - le droit à une éducation sexuelle ; - le droit au respect de son intégrité physique ; - le droit au choix de son partenaire ; - le droit de décider d'avoir une vie sexuelle active ou non ; - le droit à des relations sexuelles consensuelles ; - le droit à un mariage consensuel ; - le droit de décider d'avoir ou de ne pas avoir des enfants, au moment de son choix ; - le droit d'avoir une vie sexuelle satisfaisante, agréable et sans risque. L'exercice responsable des droits humains exige de chacun qu'il respecte les droits des autres ».




Addenda :

Les plus dépendants et les plus vulnérables sont pris dans un étau : les tiers détiennent le pouvoir décisionnel et font office de filtre. Il ne peut donc pas y avoir de plainte. Cela fait partie de la perversité intrinsèque au système pour empêcher sa remise en cause.

Dans les médias, ce sont surtout les handicapés physiques qui sont interviewés. Les méthodes interprétatives, les dangers et les infractions sont frappés d'obscurantisme relativement aux personnes affectées dans leur capacité de discernement et/ou de résistance. Même omerta sur le prosélytisme à la pédophilie et autres dérapages susceptibles d'éveiller des soupçons. Dans ces conditions, l'opinion publique peut d'autant moins se méfier qu'elle donne crédit à la sacro-sainte parole des "spécialistes" et des "experts" qui brandissent leurs titres, leurs années d'expérience, leurs théories improuvables et le symbole tout-puissant de l'égalité en droits.

Il ne faut pas qu’une minorité agissante incite à des transgressions sexuelles et les commette. Pourquoi ne pas soumettre la question à l’ensemble des citoyens afin d’en décider, démocratiquement, par référendum ?

Partiellement et partialement informée, je doute fort que l’opinion publique approuverait que les tiers professionnels et parentaux puissent perpétrer de tels actes sur les plus faibles (y compris enfants et adolescents), quel qu'en soit le motif.

Puisque l’égalité en droits est au cœur des préconisations, les sanctions légales devraient être les mêmes pour tous : autant pour les assistants sexuels et leurs complices que pour toute autre personne.

Depuis que ce blog existe, l'association Insieme et consorts ont supprimé plusieurs écrits Internet pour occulter la partie immergée de l'iceberg. N'hésitez pas à me demander la copie de certains documents par souci de vérification :

enquete-sociale@hotmail.fr

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- ALPAGAI (CH) :

« Alpagai ne cautionne aucun acte sexuel forcé »

(cf. Courriel du 22.07.2010)

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- Anonyme :

« J'ai pris des contacts afin de faire quelques chose contre ces procédés que j'assimile à du prosélytisme à la pédophilie »

(cf. Courriel du 15.02.2010)

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- Dr DAYRAS Michèle / SOS SEXISME [Meudon (F)] :

« 1- Je trouve inadmissible d'imposer cette "assistance sexuelle" à des personnes qui ne sont pas susceptibles d'exprimer leurs désirs.

2- Je suis scandalisée par le fait que des enfants et des adolescents puissent être soumis à de tels actes, assimilables juridiquement à de la pédophilie » (cf. Courriel du 10.12.2009)


- DUBOIS Bernice La Coordination Française pour le Lobby Européen des Femmes [Paris (F)] :

« Le lobby pro-prostitution en fait déjà son aubaine (et sa propagande) en Suisse romande. La France aura-t-elle la fermeté nécessaire pour ne pas tomber dans ce piège particulièrement vil ?» (cf. Courriel du 19.06.2009)


- Editions Anthroposophiques Romandes [Yverdon-les-Bains (CH)] :

« D’une part on supprime les ateliers artisanaux et artistiques (pour cause de budget) et d’autre part on irait allouer des budgets pour l’accompagnement sexuel ? […] Il me semble que l’éducation consiste précisément à effermir la résistance devant les instincts inadéquats » (cf. Courriel du 30.09.2008)


- FREYSINGER Oskar [Savièse (CH)] :

« Vous mettez en effet le doigt sur un problème qui mérite d’être étudié de près. Je vais voir s’il n’y a pas lieu de déposer une interpellation au parlement. Quoi qu’il en soit, je partage vos inquiétudes et trouve tout cela fort déplaisant et contraire à la dignité humaine » (cf. Lettre du 21.06.2009)


- Gœtheanum / GERSTER Esther [Dornach (CH)] :

« je me demande d’ou vous avez eu des informations si contraires à toute l’idée de l’anthroposophie et la pédagogie curative inspirée par la dernière » (cf. Courriel du 02.10.2008)


- Dr LEPOIVRE Michel [psychiatre à Chéseaux-sur-Lausanne (CH)] :

« A l’évidence, je trouve que la sexualisation artificielle voire forcée des personnes handicapées est tout à fait déplacée »

(cf. Lettre du 03.12.2009)

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- L'Oiseau Lyre [Prilly (CH)] :

« assurer cette éducation jusque dans les actes, que ce soit par des parents ou éducateurs et autres… me semble être hautement pernicieux et l’ouverture à toutes les dérives envers des êtres peu aptes à se protéger » (cf. Courriel du 15.12.2008)

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- PERIER Jean-Marie (F) :

« Je ne cautionnerai jamais une telle absurdité »

(cf. Courriel du 25.06.2010)

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- Le Refuge [Montpellier (F)] :

« Bien entendu, nous ne pouvons cautionner de tels propos »

(cf. Courriel du 27.06.2010)

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- Société Anthroposophique en France [Paris (F)] :

« s’il s’agit d’inciter des enfants et des jeunes n’ayant pas la maturité affective et psychique – et de surcroît handicapés – à avoir des pratiques sexuelles induites par des adultes et si de plus ceux-ci y sont impliqués, nous ne pouvons que désapprouver fermement de tels comportements. […] nous ne pouvons que désapprouver totalement toute pratique sexuelle sollicitée ou imposée à des handicapés où que ce soit, ainsi que les écrits qui promeuvent de telles pratiques. Pour ce qui est de l’activité des institutions d’orientation anthroposophiques, celles-ci relèvent de la responsabilité de leurs conseils d’administration »

(cf. Lettres des 27.02.2009 et 15.09.2009)


- Dr VANDECASTEELE Luc (B) :

« on ne devrait pas susciter des besoins corporels qui n’existent probablement pas ou ne mènent peut-être qu’une vie latente. Aussi il est très probable que les motifs des "assistants" ne soient pas pour autant non-égoïstes » (cf. Courriel du 08.10.2008)


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